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Aujourd’hui, on plonge dans un sujet essentiel pour celles qui veulent monter un business et changer de vie tout en respectant leur rythme : le slowpreneuriat.
Et pour l’occasion, j’accueille Christèle Gibaud, une entrepreneure qui a fait un choix crucial : ralentir pour avancer mieux et plus loin.
C’est également le mode d’entrepreneuriat que j’ai choisi pour respecter mon équilibre de vie !
Alors, êtes-vous prêtes à découvrir cette nouvelle approche ? Allez, c’est parti pour un échange à deux voix !
✒️ Et lisez: Comment entreprendre sa vie et Changer de vie pour aller mieux
Qu’est-ce que le slowpreneuriat ?
Ophélie : Christele, tu as une histoire fascinante. Comment es-tu arrivée à cette notion de slowpreneuriat dans ta carrière ? Pourquoi choisir de lever le pied ?
Christele : Oh, ça n’a pas été simple. J’ai travaillé 15 ans dans une entreprise. Et honnêtement, je me surinvestissais dans tout ce que je faisais. Mais ça m’a coûté cher. À force de tout donner, j’ai fini par faire un burn-out. Et ce fut un premier signal d’alarme.
Ensuite, j’ai quitté le salariat pour me lancer dans l’entrepreneuriat. Mais tu sais quoi ? Je suis retombée dans mes travers ! 50 heures de boulot par semaine, sans pause, sans recul. Et là, boom, mon corps a dit « stop » une nouvelle fois !
👉 C’est à ce moment-là que j’ai vraiment compris : il ne s’agissait plus juste de changer de voie, mais de changer de rythme. J’ai commencé à adopter le slowpreneuriat, cette idée de ralentir pour avancer de manière plus fluide et durable. Ça a tout changé !

Pourquoi Ralentir peut être la clé du Succès ?
Ophélie : Ce que tu dis résonne fort. Au début d’un business, on est souvent emportées par la croyance qu’il faut travailler sans relâche. On apprend tellement de choses en si peu de temps qu’on sature vite, et là, on risque de perdre de vue l’essentiel. Combien de fois je me suis retrouvée en mode chef d’orchestre débordée, à jongler avec mille tâches !
Christele : Exactement ! Et c’est là que le slowpreneuriat prend tout son sens. Il ne s’agit pas de travailler moins, mais de travailler mieux. En étant plus alignée avec soi-même et avec ses priorités ! Ce qui m’a aidée, c’est de prendre du recul et de revoir mes croyances sur le travail, sur la réussite.
Comment Intégrer le Slowpreneuriat dans Son Business ?
Ophélie : Alors, si tu devais donner un conseil à celles qui débutent et se sentent déjà submergées, ce serait quoi ?
Christele : Je leur dirais de faire confiance au processus et de se donner la permission de ralentir. Ça ne veut pas dire ne rien faire, mais plutôt de se concentrer sur les actions qui comptent vraiment. Se faire accompagner, c’est aussi une clé importante. Parfois, on est tellement le nez dans le guidon qu’on ne voit plus clair.
Ophélie : Oui, et c’est là qu’il est essentiel de revoir ses priorités, d’éliminer le superflu et de s’entourer des bonnes personnes pour avancer à son rythme, sans se cramer. Le slowpreneuriat, c’est un véritable changement de mindset, une invitation à travailler en pleine conscience !

Slowpreneuriat : Revoir ses Croyances pour Mieux Réussir
Allons encore plus loin dans notre exploration du slowpreneuriat, en nous penchant sur un sujet souvent ignoré : la nécessité de revoir nos croyances sur le travail et l’argent pour réussir dans l’entrepreneuriat. Pour cela,nous vous livrons nos précieux conseils. Alors, prêtes à décortiquer ces fausses croyances ? C’est parti !
Revoir ses Croyances Ancrées : Travailler Dur pour Réussir ?
Ophélie : Quand on lance un business, la première étape, c’est souvent de revoir nos croyances. Beaucoup d’entre nous viennent du salariat. Et on traîne avec nous des idées sur le travail et l’argent qui nous mettent à genoux. L’une des croyances les plus répandues, c’est qu’il faut travailler dur pour réussir… Qu’en penses-tu, Christele ?
Christele : Oh oui, cette croyance, je la connaissais bien. C’était profondément ancré chez moi : travailler dur. Ne pas compter ses heures. Et plus je travaillais, plus je pensais que j’allais réussir. Mais en réalité, c’est faux ! Ce n’est pas la quantité d’heures qui fait la différence, c’est la qualité du travail et surtout, la capacité à se concentrer sur l’essentiel.
L’Essentiel : Focaliser sur les Tâches Prioritaires
Ophélie : Exactement. Beaucoup pensent qu’il faut enchaîner les clients et les actions pour survivre financièrement. Mais finalement, ce qui compte, c’est de réfléchir au modèle économique qu’on veut mettre en place pour éviter l’épuisement.
Christele : Oui, sinon, on se retrouve vite dans une course contre la montre. Toujours plus de clients, toujours plus de tâches… Et on s’épuise. Le slowpreneuriat nous enseigne justement l’inverse : ce n’est pas en travaillant plus que l’on réussit. Mais en travaillant mieux et de manière stratégique.
👉 C’est là qu’il est crucial de revoir son modèle économique pour qu’il soit durable.
Cibler les Bonnes Personnes : La Stratégie de Niche
Ophélie : Une autre croyance courante, c’est qu’il faut accepter tous les clients et viser large pour réussir. Mais en réalité, en cherchant à plaire à tout le monde, on finit souvent par ne plaire à personne. D’ailleurs, en économie, on parle de la stratégie océan bleu contre l’océan rouge.
Quand on se positionne dans un marché saturé (océan rouge), on se retrouve à faire comme tout le monde, à se battre pour les mêmes clients, et c’est épuisant. Mais en se spécialisant (océan bleu), en innovant, on crée de la valeur et on attire les clients qui nous correspondent. Mieux vaut cibler un petit groupe précis, qui nous rapporte 80 % de la valeur, plutôt que de courir après tout le monde.
Apprendre à Se Reposer : La Clé d’une Longévité Entrepreneuriale
Ophélie : Une erreur fréquente que je vois chez les entrepreneures, c’est de ne jamais s’arrêter. Elles craignent que leur chiffre d’affaires baisse si elles prennent du repos. Mais l’entrepreneuriat, c’est une course de fond. Et pas un sprint !
Christele : Absolument. Beaucoup d’entrepreneurs n’osent pas prendre de vacances, pensant que tout va s’effondrer s’ils s’arrêtent. Mais c’est une grave erreur ! La loi de Parkinson, qui dit que notre efficacité décroît au-delà d’un certain seuil de travail, est très vraie. Pour rester créatives et performantes, il faut s’accorder des pauses. C’est souvent en s’arrêtant que les meilleures idées surgissent !
Prioriser Son Bien-Être : Le Pilier du Slowpreneuriat
Ophélie : Oui, l’entrepreneuriat est une aventure excitante. Mais il est primordial de définir le rythme que l’on veut pour éviter l’épuisement. Et créer un modèle économique en fonction de ce rythme est essentiel pour durer.
Christele : Tout à fait. Le slowpreneuriat, c’est avant tout respecter son rythme, connaître ses chronotypes (les moments où on est le plus efficace). Et ne pas hésiter à déléguer. Savoir où se trouve notre zone de génie nous permet de nous concentrer sur l’essentiel et de laisser le reste à d’autres. C’est une approche plus douce, mais tellement plus efficace.

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Réviser ses schémas issus du salariat
Ophélie :
Tu sais, lancer un business, c’est un vrai voyage, mais ça commence par un truc crucial : revoir ses croyances. C’est la première étape ! Beaucoup de femmes passent du salariat à l’entrepreneuriat sans remettre en question leur vision du travail. Et c’est une grosse erreur. Pourquoi ? Parce que ces croyances peuvent t’épuiser. C’est souvent ce qui fait que ton business ne décolle pas comme tu l’espérais. Tu restes bloquée dans d’anciens schémas.
Christèle :
C’est tellement vrai ! On ne se rend même pas compte qu’on embarque dans l’entrepreneuriat avec le même mindset qu’au boulot. Et pourtant, devenir slowpreneuse, c’est tout un changement de paradigme. On doit absolument repenser notre modèle économique. Beaucoup continuent de vendre leur temps contre de l’argent, comme dans le salariat. Mais aujourd’hui, on peut faire tellement mieux ! Tu peux créer un modèle qui respecte ton rythme, qui te permet de travailler sans t’épuiser. Un modèle de slow business qui t’offre liberté et équilibre.
Choisir le bon modèle économique
Ophélie :
Oui, choisir un modèle économique qui respecte ta vie, c’est la clé du slowpreneuriat. Ce n’est plus une question de travailler plus pour gagner plus, mais d’apprendre à travailler intelligemment, et ça, ça change tout ! Tu sais, le slowpreneuriat, c’est pas juste un buzzword, c’est une vraie philosophie. Ça implique de réfléchir à comment tu gères ton temps, ton énergie et tes ressources !
Se reconnecter à sa vision et être FOCUS
Christèle :
Exactement ! Et la gestion du temps est primordiale dans cette approche. Parce que pour réussir sans t’épuiser, tu dois vraiment maîtriser ton organisation. Je pense qu’il est essentiel de se reconnecter à sa vision. C’est elle qui va guider tes décisions. Ensuite, tu déclines cette vision en objectifs annuels, mensuels, hebdomadaires, et tu te concentres chaque jour sur LA tâche essentielle. Celle qui te fait avancer.
Ophélie :
Ah ça, oui ! On ne le dit pas assez, mais il faut vraiment attaquer la journée par ce qui compte le plus. Je parle souvent de « fainéantise intelligente ». Mais c’est plutôt du « super focus ». Il ne s’agit pas de faire 36 choses en même temps. Mais de concentrer ton énergie là où elle a le plus d’impact. 🎯
Et lisez : The one Thing – Résumé du secret de la réussite
Lever le pied pour régénérer son énergie dans le slowpreneuriat
Christèle :
Oui, et puis il ne faut pas négliger les pauses. Je sais que certaines croient que bosser non-stop, c’est la voie royale pour réussir, mais c’est faux. Les pauses sont essentielles. C’est comme si elles rechargeaient ta créativité. Perso, j’aime bien la méthode Pomodoro, mais dans une version plus longue. Par exemple, je bosse 50 minutes, puis je prends 10 minutes pour dessiner, marcher ou faire quelque chose de totalement différent. Quand je reviens, j’ai les idées plus claires et je suis prête à reprendre, pleine d’énergie.
Dire au revoir au multitâche et pratiquer le batching
Ophélie :
Tout à fait d’accord ! Moi aussi, je fais en fonction de mon chronotype. Chacune a son propre rythme, donc c’est important de respecter son énergie naturelle. Le slowpreneuriat, c’est aussi ça : ne pas forcer. Et côté organisation, je suis fan du « batching ». Il faut regrouper ses tâches similaires pour éviter de sauter du coq à l’âne toute la journée. Par exemple, si tu dois faire de la création de contenu, consacre-y une journée entière. Le lendemain, tu pourras te concentrer sur ta relation client. C’est comme ça que tu évites la déperdition d’énergie.
Christèle :
Tellement ! Le multitâche, c’est vraiment un mythe. On l’a longtemps vendu comme une qualité, surtout en entreprise, mais en réalité, ça te tue ta productivité. En slowpreneuriat, on privilégie l’efficacité sur la quantité. Regrouper les tâches similaires, c’est la meilleure manière de rester concentrée et de maximiser ton temps.
Ophélie :
Exactement, c’est une des forces du slow business. Apprendre à mieux s’organiser pour vivre mieux. C’est pour ça qu’il faut vraiment revoir notre relation au travail et se débarrasser de l’idée que pour réussir, il faut tout sacrifier. Le slowpreneuriat, c’est la voie pour réussir, sans s’épuiser, et surtout, pour profiter de la vie en parallèle.
👉 Parce qu’au final, c’est pour ça qu’on est entrepreneure, non ? Pour être libre !

Prioriser son Bien-Être en Slowpreneuriat : La Clé du Succès Durable
Ophélie :
Tu sais, on en parle souvent, mais l’une des choses les plus importantes dans le slowpreneuriat, c’est de se faire passer avant tout le reste. Avant les clients, les deadlines, les réseaux sociaux… Et ça, c’est essentiel. Il faut vraiment réfléchir à :
- où tu veux emmener ton entreprise,
- quel est le sens que tu lui donnes,
- quelle est ta vision.
- Et surtout, comment tu fais passer tes propres besoins avant le reste …
Tu sais, si tu veux tenir sur la durée, il faut que tu continues à prendre plaisir à ce que tu fais. J’en parle en connaissance de cause, parce qu’au cours de ma vie, j’ai accompagné plus de 5000 personnes à monter des business. L’un des éléments clés, c’est de s’assurer que le plaisir est là, à chaque étape. Sinon, tu t’épuises.
Se faire passer avant le reste dans le slowpreneuriat
Christèle :
Je suis complètement d’accord ! D’ailleurs, ce que j’aime bien proposer, c’est de commencer par planifier du temps pour soi quand on organise sa semaine. Ça peut sembler contre-intuitif, non ? On a l’habitude de d’abord fixer tous ses rendez-vous professionnels, puis, si par miracle il reste du temps, on s’accorde une petite pause. Mais si on inversait ce schéma ?
Et si, chaque semaine, tu te demandais d’abord : « Qu’est-ce que j’ai envie de faire pour moi ? Combien de temps je veux m’accorder ? » Tu bloques ce temps-là en premier, puis tu remplis le reste avec tes rendez-vous professionnels. Crois-moi, ça change tout !
Ophélie :
C’est clair que ça change la donne ! On a trop souvent tendance à s’oublier. Surtout quand on est entrepreneure et qu’on se dit qu’il faut tout donner pour réussir. Mais en réalité, pour créer un slow business qui fonctionne sur le long terme, il faut se préserver, mettre ses besoins en priorité.
Adopter les bonnes routines de bien-être
Christèle :
Exactement ! J’aurais aussi envie de parler de l’importance de se créer des routines bien-être au quotidien. Par exemple, moi, chaque matin, je prends entre 20 et 40 minutes pour aller marcher, selon le temps que j’ai. Et à midi, je fais des méditations ou des siestes méditatives. C’est non négociable ! Ces moments sont inscrits dans mon emploi du temps, tout comme n’importe quel rendez-vous professionnel.
Ces petites habitudes me permettent d’avoir un équilibre au quotidien. Elles m’aident à tenir le rythme sur la durée, parce que je prends du temps pour moi. Et c’est tellement essentiel pour ne pas s’épuiser et rester motivée dans la durée.
Ophélie :
Je te rejoins complètement ! Il est crucial de prendre soin de soi si l’on veut tenir sur la longueur. D’ailleurs, c’est pour ça que le slowpreneuriat est si important. C’est un modèle qui valorise l’équilibre et le bien-être, tout en te permettant de faire grandir ton entreprise.
👉 Parce qu’au final, quel est l’intérêt d’avoir un business qui cartonne si toi, tu es à bout de souffle ?

Slowpreneuriat et Focus : La Clé pour un Business qui Dure
Ophélie :
Tu as tellement raison, Christèle ! Ces conseils sont essentiels. Moi aussi, je fais exactement la même chose. Et c’est ce qui me permet d’avoir une énergie inépuisable, que ce soit dans mes activités personnelles ou professionnelles. D’ailleurs, on en parlait, la question du focus est cruciale.
Apprendre à dire non aux sollicitations qui ne nous apportent rien, c’est vital. Couper les notifications, prendre des moments dans la journée où l’on n’est tout simplement pas disponible, c’est indispensable. Aujourd’hui, notre attention est une ressource précieuse. Elle n’est pas illimitée, et pourtant, beaucoup de personnes ont du mal à la protéger. Il faut aussi savoir se concentrer sur ce qui rapporte vraiment à court, moyen, et long terme dans son business.
Le reste ? Soit tu lâches prise, soit tu délègues ce dans quoi tu n’es pas douée.
Dire stop aux interruptions pour concentrer son attention
Christèle :
Oh que oui ! Et j’aimerais ajouter un point sur les interruptions. Tu parlais des notifications, des distractions, et j’ai récemment lu une étude fascinante à ce sujet. Elle expliquait que lorsqu’on est interrompue, il nous faut entre 15 et 23 % de temps supplémentaire pour retrouver notre concentration sur la tâche initiale. Certaines études parlent même de 20 minutes à chaque reprise.
Quand on accumule ces interruptions tout au long de la journée, cela finit par coûter cher. Sur un mois, ces petites interruptions pourraient nous faire perdre jusqu’à trois jours de travail. Incroyable, non ? Quand on prend conscience de ça, on réalise à quel point il est important de changer ses habitudes.
Moi, par exemple, je me mets en mode « ne pas déranger » sur mon téléphone quand je suis en pleine tâche. J’ai des créneaux pour répondre aux emails ou interagir sur les réseaux sociaux, mais en dehors de ces moments-là, je reste focus. Cela me rend tellement plus productive ! Comme tu l’as si bien dit, cela permet de se concentrer sur les tâches à forte valeur ajoutée.
Se concentrer sur les tâches et actions à forte valeur ajoutée
Ophélie :
Exactement, et ces tâches à forte valeur ajoutée sont essentielles à la croissance d’un business. C’est écouter ses clients, comprendre leurs besoins, créer des offres qui répondent parfaitement à leurs attentes et les fidéliser. Sans oublier de se faire connaître pour assurer le développement durable de ton entreprise. C’est là que tu construis les bases solides de ton succès !
Christèle :
Oui, et pour réussir tout ça, il faut vraiment bien connaître ton client idéal. C’est fondamental. Apprendre à connaître ses besoins, ses problématiques, et surtout utiliser son propre langage pour mieux lui parler. Faire des questionnaires, organiser des rencontres, utiliser ses mots pour créer une connexion authentique. Parce qu’au fond, la clé de la réussite, c’est cette connexion profonde avec ton audience.

Lâcher Prise sur le Perfectionnisme pour Avancer dans Le Slowpreneuriat
Ophélie :
Et puis, il y a un autre point crucial : lâcher prise sur le perfectionnisme. Franchement, le perfectionnisme et la complexité, c’est ce qui nous coûte le plus, que ce soit dans nos vies ou dans nos entreprises. On perd tellement de temps à essayer de tout rendre parfait. Alors que l’essentiel, c’est de passer à l’action.🚀
Christèle :
Oh oui, je suis totalement d’accord ! J’ai un exemple qui me revient en tête. Et je pense qu’il est très parlant. Récemment, une de mes clientes m’a fièrement annoncé qu’elle avait passé deux heures à créer sa toute première story Instagram. Elle avait pris un soin fou à choisir les images, à peaufiner l’accroche, tout ça pour une story qui disparaîtrait dans 24 heures ! Quand on y pense, deux heures sur une story, c’est énorme.
Et c’est là que je lui ai dit : “C’est ton perfectionnisme qui te joue des tours.” L’idée, c’est vraiment de lâcher prise sur ce besoin de tout rendre parfait. Pour chaque tâche, il faut se fixer un temps précis, et s’y tenir. Mieux vaut faire que parfait. C’est devenu mon mantra depuis des années, parce que moi aussi, j’étais une ancienne “Madame Parfaite.” Mais au bout du compte, mieux vaut avancer que de rester bloquée à cause de la quête de perfection.
Ophélie :
Exactement ! Le perfectionnisme est un véritable frein. Il empêche de prendre des décisions rapides, de tester, de se tromper et de s’améliorer. Alors que dans le slowpreneuriat, l’essentiel, c’est de progresser régulièrement, même avec des petites actions imparfaites. C’est ce qui nous permet de garder le cap sans nous épuiser.

Faites en Moins, Mais Mieux et Adoptez le SlowPreneuriat
Je suis sûre que tous les conseils que nous venons de partager ont résonné chez beaucoup d’entre vous. Peut-être que c’est l’opportunité de revoir votre manière de fonctionner dans votre business. Et si vous vous autorisiez à lever le pied, à en faire un peu moins, mais mieux ? Le slowpreneuriat, c’est exactement ça : ralentir pour mieux avancer, développer votre activité de façon beaucoup plus sereine et alignée avec vos valeurs.
Christele : Si vous souhaitez poursuivre cet échange de bonnes pratiques, ou être accompagnée dans cette aventure entrepreneuriale, vous pouvez me retrouver sur LinkedIn ou Instagram, où sur Créactiv’ Épanouie. J’accompagne avec plaisir celles qui veulent créer un business à leur image, tout en prenant soin d’elles !
Et partagez-nous les conseils que vous allez appliquer pour être plus libre dans l’entrepreneuriat et créer un business au service de votre vie !
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