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Tu rêves de liberté financière mais, au fond de toi, tu sens qu’un blocage invisible te freine ? Alors, dis-toi bien que tu n’es pas la seule.
Et dans cette interview inspirante menée par Murielle Thézenas, créatrice du séminaire Le Fric, c’est Chic, je vous explique tout de la relation à l’argent des femmes entrepreneures.
Et ce n’est pas juste une question de chiffres, c’est une vraie révolution intérieure 🔥
✒️ Lis en complément : 7 exercices pour libérer ta relation à l’argent
🌸 L’argent fait partie de l’équation… et du kiff entrepreneurial !
Dès les premières minutes, Murielle donne le ton :
« L’argent fait partie de l’équation. Arrête de travailler pour travailler. Arrête de travailler pour la gloire. Commence à travailler pour l’argent. »
Et si on arrêtait de diaboliser le mot « fric » pour enfin l’intégrer comme un outil d’expansion, de liberté et de puissance au féminin ? 🧨
C’est exactement ce que prône Ophélie : sortir du tabou et oser remettre l’argent au cœur de nos projets d’entrepreneures, sans culpabilité, sans complexe, sans filtre.
💬 « Rien ne me prédestinait à parler de fric… Et pourtant. »
Ophélie partage son témoignage : elle vient d’un milieu où l’argent était soit absent des conversations, soit conflictuel.
Et pourtant, à 23 ans, elle devient major d’un institut de recherche en développement économique, lève 18 millions pour un projet… sans un sou personnel en poche.
« C’est là que j’ai compris que le rapport à l’argent, c’est pas juste le « comment ». C’est ce qui se passe à l’intérieur de nous. »
💡 Cette phrase est clé : la réussite financière ne commence pas dans un tableau Excel, elle commence dans ta tête…
💡 L’argent comme reflet de ton monde intérieur
Après plus de 20 ans d’accompagnement, 5000 porteurs de projets soutenus, et une spécialisation en neurosciences, coaching et psychologie, Ophélie est formelle :
« Le plus grand frein, c’est l’auto-sabotage lié à notre relation à l’argent. Ce n’est pas une histoire de compétences. »
C’est là que commence le vrai travail : celui qui permet de comprendre ses croyances, d’oser se regarder en face et de se libérer de ce qui ne nous appartient plus.
🌿 Le flux financier : une sève vitale à faire circuler
Murielle et Ophélie abordent ensuite une notion forte : celle du flux financier, cette énergie qui circule… ou pas.
Ophélie parle de cette « sève » intérieure qui alimente nos projets comme un arbre.
Quand la relation à l’argent est saine, fluide, ancrée… le projet pousse, fleurit, rayonne.
Et quand elle est bloquée, déconnectée, conflictuelle… tout se fige.
« L’argent, c’est une énergie. Il ne s’accumule pas, il circule. Et c’est à toi de l’activer, de lui donner une direction. »
🎯 Voilà pourquoi travailler sa relation à l’argent, c’est indispensable quand on veut entreprendre et investir avec alignement.
🧠 Une relation à l’argent et l’entrepreneuriat à personnaliser (et non standardiser) !
Ce que Murielle souligne avec justesse :
« L’objectif, ce n’est pas de faire de tout le monde des adoratrices de billets verts. C’est de trouver son équilibre personnel. »
On ne parle pas ici de devenir une machine à cash. On parle de reprendre son pouvoir et de choisir librement comment on veut vivre, gagner, investir, donner, transmettre l’argent.
Et c’est cette approche profondément humaine et féminine qu’incarne Fric au Féminin.
✨ À retenir sur la relation à l’argent dans l’entrepreneuriat :
- L’argent n’est ni sale, ni honteux : il est vital.
- Ta relation à l’argent impacte directement ta réussite pro et perso.
- Ce qui bloque n’est pas le comment, mais ce qu’il y a à l’intérieur de toi.
- Tu peux transformer ta relation à l’argent, peu importe d’où tu viens.
- Le flux financier, c’est la sève de ton business : fais-la circuler avec amour et conscience.
« Commence à travailler pour l’argent. Pas pour la gloire. Pas pour l’épuisement. Pour ton expansion. »
Mettre l’argent au bon endroit : une compétence vitale pour les femmes qui veulent vraiment être libres 💸👑
Tu veux devenir libre financièrement ? Alors lis bien ça : gérer ton argent ne suffit pas. Il faut apprendre à le mettre au bon endroit. Et cette compétence-là, on ne te l’a probablement jamais apprise.
Parce que l’argent… c’est l’énergie de ton entreprise ⚡️
Eh oui… L’argent, c’est pas juste un chiffre sur un compte. C’est une énergie. Et c’est ce qui nourrit ton business, tes projets, ta croissance. Et ça te permet d’investir, d’évoluer, de transformer, d’oser.
Mais quand on a grandi avec le modèle “métro-boulot-salaire fixe tous les mois”, c’est tout un monde qu’il faut déconstruire…
Car quand t’es salariée, on t’apprend à gagner de quoi vivre.
Alors que quand t’es entrepreneure, tu dois apprendre à faire vivre ton entreprise. Et ça, ça change tout…
Relation à l’argent et entrepreneuriat : la claque financière (et émotionnelle) du début 💥
Quand tu te lances, tu gagnes rarement beaucoup. Et les flux ne sont pas constants. il y a des hauts, des bas, des “wtf je fais quoi maintenant ?”.
Alors, c’est là que tu dois te rappeler une chose :
👉 tu ne construis pas juste un job.
👉 tu construis un système économique.
👉 et ce système doit être vivant, adaptable, et capable de se régénérer.
Ca veut dire quoi ? Eh bien, ça veut dire que :
- tu dois investir en toi (formations, mentorat, coaching…)
- investir dans ton business (outils, délégation, structure…)
- et penser long terme et non mois après mois …
Investir, c’est pas un gros mot 🙅♀️
On n’a pas appris aux femmes à investir. Pire, on nous a appris à avoir peur de l’argent.
Et encore pire : à se contenter…
Mais une entreprise qui ne réinvestit pas meurt. Et une femme qui n’apprend pas à faire circuler l’argent reste coincée dans la survie.
🔥 donc non, ce n’est pas “ambitieux” ou “prétentieux” de vouloir plus.
🔥 c’est sain, c’est vital, c’est stratégique !
Petite leçon d’histoire 📚
On va se dire les choses : jusqu’en 1965, une femme n’avait pas le droit d’ouvrir un compte ou de travailler sans l’autorisation de son mari…
Et 1965, c’est pas le Moyen Âge… C’est la génération de nos mères.
Alors, tu comprends pourquoi c’est encore tabou ? pourquoi on gère bien mais on n’ose pas penser “croissance” ?
Et pourquoi on est douées en budget mais nulles en projection ? C’est parce qu’on a été tenues éloignées du pouvoir. Et l’argent, c’est du pouvoir.
“Mettre l’argent au bon endroit” : c’est quoi au juste ? 🤔
C’est :
- arrêter de tout mettre dans l’opérationnel sans penser au développement
- ne pas de dépenser pour faire “pro” et commencer à investir pour faire grandir
- savoir dire non à ce qui ne rapporte rien et oui à ce qui fait exploser ta valeur
- arrêter de se sous-payer en attendant que “ça marche” et se rémunérer comme une boss dès maintenant
C’est une posture, une vision, une compétence stratégique qu’il faut intégrer dans ton ADN de femme libre !
Parce que la vraie richesse… c’est la liberté ✨
Et pour être libre, il faut avoir les moyens de ses prétentions. Alors, oui, tu as le droit de vouloir :
- choisir tes clientes,
- dire non à certains dossiers,
- bosser quand tu veux, comme tu veux,
- te payer en fonction de ta vraie valeur
Mais pour ça, il faut arrêter de juste “faire” et commencer à penser comme une cheffe d’entreprise… Bref s’autoriser à voir grand, à investir gros. Et à faire tout ça dans une énergie qui te ressemble : féminine, consciente, alignée !
En résumé : mettre l’argent au bon endroit dans ton business, c’est…
💥 déconstruire le modèle du salarié et incarner celui de l’entrepreneure
💥 investir dans ta croissance, pas dans ton perfectionnisme
💥 dépasser la peur du “trop” pour t’offrir le juste pour toi
💥 reprendre ton pouvoir et créer un business au service de ta vie (et pas l’inverse)
💸 Vendre quand on est une femme : et si c’était (d’abord) une histoire d’amour avec l’argent ?
Etre à son compte, ça secoue. et chez les femmes en particulier, il y a un sujet explosif qui se cache derrière les mots « je n’aime pas vendre » : la relation à l’argent. Alors, on plonge dans les coulisses d’un malaise féminin encore tabou : le lien entre argent, estime de soi et valeur perçue…
🎯 Vendre, ce n’est pas « arnaquer » : c’est créer de la valeur (et oser la reconnaître)
« on crée un bien-être souvent bien plus grand que le prix qu’on ose demander. »
les femmes entrepreneures, en particulier celles du secteur du bien-être, ont souvent l’impression de « profiter » de la souffrance des autres si elles font payer leur service. Résultat ? elles bradent, elles culpabilisent… et elles s’épuisent !
Mais vendre, ce n’est pas profiter…Vendre, c’est rémunérer une transformation. Oui, vendre, c’est permettre à l’autre d’aller mieux, plus vite, plus profondément. Et vendre, c’est honorer la valeur de ce qu’on apporte.
« Moi, je fais en sorte que mes clientes fassent au moins fois 3 ou fois 10 de retour sur investissement. C’est mon repère. »
Et toi, est-ce que tu mesures combien tu fais économiser en énergie, en stress, en santé mentale à la personne que tu accompagnes ?
✒️ Et lis : comment fixer un prix juste pour vous et vos clients ?
🚧 le vrai chantier : la relation (cachée) à l’argent
« 100 % des femmes que j’accompagne ont un souci de relation à l’argent, même si elles ne le disent pas au départ. »
Le plus souvent, les femmes viennent à nous pour du « branding », de la « stratégie », du « positionnement ». Mais derrière ces jolis mots, il y a un malaise profond avec l’idée de gagner de l’argent. Comme si ce n’était pas autorisé… Et comme si c’était sale.
Car notre relation à l’argent est inconsciente, souvent invisible… et pourtant ultra puissante. Elle bloque la vente, la croissance, l’audace, la liberté. Mais bonne nouvelle : ça se travaille. 🌱
👧 La petite fille sage et la sale gosse : laquelle va cartonner dans son business ?
« on s’autorise pas à être des sales gosses… alors que c’est souvent quand on l’est qu’on réussit le mieux. »
Dans notre société, les petites filles ont appris à être sages, discrètes, aimables. Pas ambitieuses. Et pas riches. Du moins pas « trop ».
Résultat ? En tant qu’adultes, beaucoup de femmes s’auto-limitent, consciemment ou pas. Et elles ont peur d’être jugées, rejetées, taxées d’égoïstes ou de matérialistes. Alors, elles restent dans des métiers « de soin », mal payés, et surtout… Pas osés.
Et si on s’autorisait à rêver grand ? à viser l’indépendance totale ? à créer notre propre flux financier sans permission ?
💬 « créer sa situation économique à partir de zéro, c’est encore révolutionnaire quand on est une femme. »
💥 Redéfinir sa valeur : un acte féministe
« on a été habituées à faire beaucoup, gratuitement, sans être valorisées. »
Et si la vraie révolution, c’était d’apprendre à chiffrer la valeur de ce qu’on apporte ? Et à dire : « oui, ça a un prix. Et c’est normal. »
Et valoriser son travail, c’est :
- reconnaître que ce qu’on fait a un impact réel ;
- arrêter de vouloir « sauver » à nos frais ;
- accepter de recevoir autant qu’on donne.
Et c’est aussi transmettre un message fort à nos filles, nos sœurs, nos clientes : « ma valeur ne se négocie pas. »
🔑 3 questions pour dégommer tes blocages sur l’argent
- Est-ce que tu crois, quelque part, qu’aider les autres ne devrait pas être monétisé ?
- Quelle transformation concrète apportes-tu à tes clientes ? Et combien ça vaut vraiment ?
- Qu’est-ce qui t’empêche encore de facturer à la hauteur de ta valeur ?
Rapport à l’argent et estime de soi : quand l’enfant en nous bloque l’entrepreneure que nous sommes !
Tu te demandes pourquoi tu galères à fixer tes tarifs ?
Pourquoi tu culpabilises à l’idée de recevoir ?
Et pourquoi tu sens que tu dois « prouver » ta valeur, encore et encore ?
⚠️ Eh bien, c’est rarement une question de stratégie, ni de compétences, ni de « il faut que je fasse une énième formation » !
C’est souvent une histoire vieille comme toi… Une histoire d’estime de soi,
une histoire d’amour. Ou plutôt… d’un amour qui n’a pas été reçu comme il aurait dû.
Ce qu’on a vécu enfant conditionne notre rapport à l’argent dans l’entrepreneuriat
Le rapport à l’argent, c’est jamais qu’une extension de notre rapport à notre propre valeur.
Et cette valeur, elle se forge très tôt :
👶 à notre naissance (sommes-nous nées dans le désir ? l’attente ?)
👧 dans notre fratrie (quelle était notre place ?)
👨👧 et dans le regard de nos parents, surtout du père (a-t-il voulu une fille ? ou espérait-il un garçon ?)
beaucoup de femmes que j’accompagne n’ont jamais pris conscience que le rejet subtil vécu enfant continue de s’exprimer dans leur entreprise.
👉 elles n’osent pas se mettre en avant
👉 elles facturent trop bas
👉 elles donnent sans compter, mais reçoivent à peine
Et le pire ? Elles pensent que c’est normal. Et qu’il faut « prouver » sa valeur. encore et toujours…
Donner, c’est beau. Et recevoir, c’est juste !
Les femmes, on a été éduquées à donner.
🎁 à materner. à porter. à soulager.
et souvent… à ne jamais rien attendre en retour…
Mais l’argent, c’est pas juste une affaire de chiffres. C’est une énergie. un flux.
💡 si tu donnes sans recevoir : tu bloques le flux.
💡 et si tu reçois sans donner : tu bloques le flux.
car l’un ne va pas sans l’autre.
➡️ donner ET recevoir, ce sont les deux faces d’une même pièce.
c’est la loi de l’équilibre. une loi qu’on transgresse à nos dépens…
Ton prix, c’est une déclaration d’amour envers toi-même
Poser un prix, c’est pas vendre quelque chose… C’est dire : « je reconnais la valeur de ce que je fais. ». Et sous-facturer, c’est dire à ton inconscient :
« je ne mérite pas plus. »
« je dois faire mes preuves. »
« je n’ai pas assez de valeur. »
Mais ce discours-là, il vient rarement de ton business plan.Car il vient de cette petite fille qui, à un moment de sa vie, n’a pas ressenti qu’elle était précieuse. qu’elle avait le droit d’exister, d’être aimée, sans avoir à mériter…
💔 Et cette douleur-là, tant que tu ne vas pas la voir en face, elle te dirigera. Elle t’empêchera d’assumer pleinement ta puissance, te fera saboter tes élans.
Et elle te fera douter là où tu devrais rayonner !

Entreprendre, c’est grandir en conscience (et en puissance)
Eh non, entreprendre ce n’est pas juste vendre, fixer des objectifs, poster sur instagram et avoir un tunnel de vente qui convertit…
Car entreprendre, c’est aller à la rencontre de ce qui te bloque. Et souvent, ce qui te bloque, c’est invisible, c’est émotionnel, c’est ancien.
👉 c’est ton rapport à ta naissance.
👉 c’est le silence de ton père.
👉 c’est l’enfant que tu étais, qui a grandi sans se sentir « assez ».
👉 c’est ta peur de ne pas mériter.
👉 c’est ta croyance qu’il faut souffrir pour réussir.
Et c’est ça qu’il faut aller guérir si tu veux te libérer vraiment !
Autorise-toi à réussir… sans t’épuiser
🔥 tu n’es pas née pour galérer.
🔥 et tu n’as rien à prouver.
🔥tu n’as pas besoin d’en faire trop pour mériter de recevoir.
Car ton entreprise, c’est aussi ton miroir. Elle te montre ce que tu crois, ce que tu portes, ce que tu fuis. Et tant que tu ne fais pas ce job intérieur, tu risques de tourner en rond, même avec les meilleures stratégies du monde.
👑 Bonne nouvelle ?
On peut toutes se reprogrammer. Et on peut changer de croyances, se reconnecter à sa valeur, oser recevoir, oser briller, oser vivre dans l’abondance !
Et si tu devenais à une fainéante intelligente ? 😉
C’est mon mantra. Parce que bosser dur, c’est surfait. Et ce qui paye, c’est bosser juste.
🎯 faire le ménage dans ses croyances.
🎯 poser les bons prix avec amour et confiance.
🎯 apprendre à recevoir sans rougir.
🎯 se faire accompagner pour voir clair dans ses angles morts.
🌟 Vendre sans se trahir : comment briser les tabous autour de l’argent quand on est une femme ?
✨ « personne ne va faire confiance à une ferrari au prix d’une clio »
C’est dit. Et c’est tellement juste.
Les femmes qui veulent entreprendre doivent affronter un monstre invisible. Et non, ce n’est pas leur manque de compétences… c’est leur relation à la vente, à la valeur, et à l’argent.
Beaucoup ne disent pas “je n’aime pas vendre”, elles disent “je n’aime pas me vendre”. Subtil, mais révélateur d’un gros nœud émotionnel.
💸 vendre, pour une femme, c’est encore tabou
Ophélie le rappelle avec clarté : avant 1965, les seules femmes qui gagnaient leur vie seules… étaient des femmes qui vendaient leur corps.
“Pratiquer des bons tarifs et être à l’aise avec la vente, c’est briser un tabou de 50 ans.”
Boum. Voilà pourquoi aujourd’hui, vendre reste chargé d’une histoire collective lourde.
Car la vente est encore perçue comme un acte vulgaire, venal, malsain. Et pire encore : comme quelque chose qui s’oppose à la générosité ou au service.
Mais ça, c’est du passé …
🧠 ce que la vente active dans notre cerveau (et notre héritage)
Ce que révèle cette interview, c’est que notre langage trahit nos blocages. Dire “se vendre” active tout un tas de représentations inconscientes : femme-objet, prostituée, soumise, manipulatrice, glaçon carriériste…
“La business woman ? Soit elle est aigrie, soit elle a couché. Jamais elle est simplement compétente et alignée.”
Et on est encore en 2025 à se débattre avec ces images.
Les femmes se sabotent non pas parce qu’elles ne sont pas capables. Mais parce qu’elles portent des siècles de culpabilité, d’injonctions à plaire, à servir, à ne pas déranger, à ne pas briller.
💥 Réussir sans culpabiliser : le défi des femmes entrepreneures
Quand une femme commence à gagner plus que son conjoint, ça coince.
Pas forcément à cause du regard extérieur, mais au sein même du couple. Et c’est là que beaucoup font marche arrière.
“Certaines femmes s’autorisent à réussir… Et puis, pouf, se replient pour protéger l’ego de leur conjoint.”
C’est tragique. Et c’est courant. D’où l’importance de choisir un entourage qui soutient votre expansion, comme le souligne Ophélie.
🛠 Les vraies compétences à développer pour réussir (et ce n’est pas votre expertise)
“Ceux qui réussissent ne sont pas les plus experts. Ce sont les plus alignés.”
Tellement vrai. L’entrepreneuriat est un miroir géant. Il vient révéler qui on est vraiment : nos moteurs, nos peurs, nos blessures, et nos freins invisibles.
Et ça, aucune formation technique ne vous y prépare. Car il faut faire ce fameux “job intérieur”.
🧭 3 pistes puissantes pour transformer votre rapport à l’argent et à la vente pour réussir dans l’entrepreneuriat
- Changer les mots pour changer le sens
- Dire “je propose un service” au lieu de “je me vends”.
- Dire “je permets une transformation” au lieu de “je facture”.
- Dire “je propose un service” au lieu de “je me vends”.
- Vous rappeler que servir ne veut pas dire s’oublier
- Le service ce n’est pas se sacrifier.
- Vendre, c’est mettre votre lumière au service de l’autre. Et ça mérite d’être rémunéré.
- Le service ce n’est pas se sacrifier.
- Travailler votre rapport au pouvoir
- Vendre, c’est assumer votre puissance.
- Et la puissance féminine, douce, sensible, intuitive, elle change le monde. Elle ne le détruit pas…
- Vendre, c’est assumer votre puissance.
Osez briller et ouvrir la voie !
Etre un rôle modèle pour les femmes et les filles : le pouvoir de l’exemple
« je suis un rôle modèle pour ma fille, pour ma nièce, pour cette petite fille qui me regarde. »
cette phrase claque comme un manifeste. Car notre posture vis-à-vis de l’argent ne nous concerne pas que nous. Elle inspire les générations futures.
Alors, oser réussir pour sa liberté, c’est aussi montrer le chemin à celles qui nous suivent. Car chaque femme qui assume sa brillance envoie un signal fort : « c’est possible pour toi aussi. »
Les freins invisibles : quand l’amour ou la peur étouffe le feu
Beaucoup de femmes renoncent à leur projet entrepreneurial pour « ne pas déranger » leur partenaire. Certaines mettent fin à leur business, par amour, par peur du conflit, ou pour rester dans un cadre rassurant mais limitant…
« il ne faut pas que tu brilles trop » : cette phrase, combien d’entre nous l’a entendue.
Car oser briller, c’est accepter que cela puisse gêner. Mais c’est aussi poser un acte de souveraineté. C’est choisir de ne plus attendre qu’un héros vienne nous sauver, mais devenir sa propre héroïne !

Premier pas vers la paix avec l’argent : repérer ses croyances limitantes
On ne change pas sa réalité financière sans plonger dans ses croyances…
- « les riches sont des salauds » ?
- « je ne suis pas une vraie business woman » ?
- « ce n’est pas bien de vouloir plus » ?
Car ces phrases intérieures dirigent notre comportement sans même qu’on s’en rende compte. les débusquer, c’est le début de la libération …
Le poids des insécurités : pourquoi les émotions impactent votre business
Vos insécurités financières passées vivent encore en vous. Et elles colorent vos prises de décision, vos prix, votre manière de vendre.
« quand on est en mode survie, tout le monde le sent. »
Car cette tension invisible bloque la richesse. Elle empêche la vente fluide, l’audace, la joie. Et le travail sur les émotions, les ressentis et les croyances profondes est donc vital.
La richesse est dans la relation (pas dans la vente à tout prix)
En effet, changer son regard sur la vente, c’est game changer. Car vendre ne devrait pas être un forcing !
« une bonne vendeuse, c’est une femme qui propose exactement ce qu’il faut, au bon moment, à la bonne personne. »
Car on vend mieux quand on se connecte à l’autre et quand on honore la relation. Et ça, c’est très féminin.
Alors autorisez-vous à rêver et à déranger ✨
On vous a appris à ne pas faire de vagues ? Désormais, brisez les codes. osez déranger. Et osez vibrer la vie que vous voulez.
« je vois trop de femmes parler d’argent sans savoir pourquoi elles veulent de l’argent. »
Alors, posez-vous la question : c’est quoi la vie qui vous ferait vibrer ? Et pas juste survivre… Vibrer. Aimer. Incarner !
Se faire accompagner pour mieux s’épanouir dans l’entrepreneuriat et dans sa relation à l’argent
On ne change pas seule… Et il est essentiel de se faire accompagner, coacher, guider.
« la frustration vient souvent de savoir qu’on est en dessous de ce qu’on pourrait être. »
La bonne nouvelle ? Vous pouvez switcher. vous avez le pouvoir de changer les règles du jeu. Même si c’est lent. Et même si ça pique !

Pourquoi libérer sa relation à l’argent est essentiel dans l’entrepreneuriat
« l’enfer, ce n’est pas de ne pas réussir. c’est de terminer sa vie avec des regrets. »
Osez incarner votre puissance. Et osez créer un business audacieux qui vous ressemble.
Si vous sentez que c’est le moment, entourez-vous des bonnes personnes. Car aucune de nous n’a réussi seule et nous ne sommes pas faites pour rester bloquées. On est faite pour évoluer, pour créer, pour inspirer.
Alors, prête à briller ? 🌟 Parlons-en ! Car à chacune son accompagnement sur mesure 100 % adapté. Parce que vous le valez bien !